Les meilleurs polars

Un tueur en série enlève et tue des jeunes femmes et abandonne leur corps dans des rivières. Débordé par l’enquête, le FBI envoie Clarice Starling, une recrue en formation à Quantico pour évaluer Hannibal Lecter, un ancien psychiatre aux fâcheuses tendances cannibales, emprisonné dans un asile psychiatrique. Tandis que les enquêteurs tentent sans succès de traquer le meurtrier surnommé Buffalo Bill, Hannibal envoie la jeune femme sur les traces du tueur en série. Commence alors une relation étrange et étouffante entre Clarice, vulnérable et Lecter, manipulateur.

Les polars où un agent du FBI chasse un serial killer foisonnent. Pourtant, à ce jour, Le Silence des Agneaux reste inégalé. Depuis 1988, date de la sortie du livre, le nom d’Hannibal Lecter évoque l’effroi et la terreur. Jamais on n’avait connu un personnage pourtant enfermé dans un établissement de haute sécurité qui provoque autant la peur. Dans sa cellule, son calme de prédateur, son regard avide qui dévore Clarice Starling, la façon dont il susurre son prénom (Clariiiiicccce) laissent présager de la menace qui émane de cet homme diabolique. On ne saurait que conseiller aux âmes sensibles de s’abstenir, car certaines scènes du livre sont particulièrement gorges. Si le livre est devenu un classique du genre, c’est aussi grâce à l’écriture sans fioriture de Thomas Harris qui décrit cliniquement les pires des horreurs. C’est aussi grâce au film éponyme, incarné par Jodie Foster et le fantastique Anthony Hopkins, qui réussit l’impossible : être encore plus flippant que le livre.

Dans notre recherche, nous avons également sélectionné L’Aliéniste de Caleb Carr. Ce polar dense, subtil et violent aux accents sherlockiens met en scène un psychiatre sur les traces d’un tueur qui agit en toute impunité dans les bas-fonds glauques de New York. Pour l’attraper, Laszlo Kreizler décide d’établir son profil psychologique, une technique inédite en 1896.

Les Apparences de Gillian Flynn est LE thriller parfait qui brosse brillamment et sans pitié, le portrait d’un couple, miné par ses secrets. Lorsque l’épouse disparaît, l’enquête tendue fait voler en éclat les apparences trompeuses.

Avec L’homme qui n’aimait pas les femmes, Stieg Larsson a fait découvrir au monde entier, le polar scandinave. La trilogie Millénium commence par l’enquête sur la disparition d’une jeune fille de bonne famille, 40 ans auparavant. Et introduit Lisbeth Salander, une cyber punk malmenée par la vie, désormais entrée au panthéon des héroïnes du polar.

Sorti en 1992, Le maître des illusions de Donna Tartt transcende les genres et est devenu un classique. À mi-chemin entre le thriller psychologique et le récit d’apprentissage, le pavé de 700 pages remonte la piste d’un meurtre confessé dès la première page. Au programme, une élite universitaire et Platon, snobisme et fascination, manipulation et ambition.

Le nom de la rose de l’italien Umberto Eco nous entraîne dans la France du XIVe siècle où l’Église est toute puissante. On suit avidement l’investigation minutieuse d’un ancien inquisiteur sur les assassinats commis sur des moines au sein d’une abbaye. Un chef-d’œuvre du genre sur les failles humaines, parsemé d’histoire, de religion et de politique.

Depuis 1988, l’Américaine Elizabeth George construit un monument de la littérature policière avec sa série « Linley et Havers » qui comptabilise à ce jour 20 romans (des pavés) se déroulant tous au Royaume-Uni. Lui est un aristocrate anglais, inspecteur de police à Scotland Yard. Elle est son sergent, indisciplinée et issue de la classe populaire. Anatomie d’un crime, son 14^e opus est un livre à part puisque les deux héros principaux n’y apparaissent quasiment pas, ce qui peut dérouter de nombreux fans.

Cela n’empêche pas ce livre d’être l’un de ses meilleurs. Son postulat de départ est à la fois simple et passionnant. Comment un enfant de 12 ans peut-il être amené à commettre un meurtre ? En racontant le parcours de Joël, un ado d’origine jamaïcaine, abandonné par sa grand-mère et plongé dans la misère et la violence des quartiers défavorisés de Londres, elle décrit l’engrenage impitoyable qui le pousse à commettre l’irréparable.

Même s’il n’est pas nécessaire d’avoir lu tous ses livres dans l’ordre (mais on vous le recommande chaudement), un crime, selon Elizabeth George, repose toujours sur la psychologie humaine. Dans son univers, la résolution d’un meurtre prend du temps et repose sur une dissection empathique des personnages qui habitent ces histoires. Avec elle, point de scènes de poursuite ou de coup de feu, la dramaturgie se fait en sourdine. Mieux que personne, elle décrit comment les sentiments et les ressentiments, les non-dits et les mensonges conduisent au crime. À découvrir absolument.

Dans notre recherche, nous avons également sélectionné Seul le silence, de R.J Ellory. Depuis 30 ans, Joseph, devenu un écrivain à succès, est traumatisé par les meurtres de fillettes dans son Sud natal. Mais le tueur sévit toujours et il décide de traquer l’auteur de ces crimes affreux. Un livre noir pourtant rempli de poésie et de douceur qui colle à la peau pendant longtemps.

Pour les estomacs bien accrochés, nous conseillons Mort aveugle de Karin Slaughter. À noter qu’en anglais, « slaughter » signifie massacre et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’écrivain porte bien son nom si l’on se réfère à la scène d’ouverture du livre, le premier de la série très réussie de «Grant County». La terreur s’abat sur une petite ville de Géorgie quand une professeure d’université est mortellement mutilée. S’ensuit un compte à rebours palpitant pour arrêter un tueur sadique.

Ce n’est pas un hasard si les polars de Dennis Lehane sont adaptés au cinéma (Mystic River, Shutter Island, Gone baby Gone). C’est un raconteur d’histoires extraordinaires qui manipule l’humour noir avec brio. Il faut absolument découvrir son premier livre, Un dernier verre avant la guerre, qui met en scène le fameux duo Kenzie et Gennaro, amis d’enfance devenus détectives privés à Boston. Engagés pour retrouver des documents confidentiels, ils vont se retrouver au cœur d’une guerre des gangs.

Imaginez que votre sœur est une tueuse en série qui élimine ses petits amis. Imaginez qu’après chaque crime, vous nettoyez derrière elle. Maintenant, imaginez que votre sœur sort désormais avec un médecin dont vous êtes secrètement amoureuse…comment ne pas avoir envie de dévorer Ma sœur, serial killeuse d’Oyinkan Braithwaite ?

Avec Le chant des sirènes, l’Écossaise Val McDermid signe ici l’un de ses meilleurs livres et l’un de ses plus dérangeants. Quatre hommes ont été assassinés en utilisant des instruments de tortures médiévales. Arrive le très tourmenté Dr Tony Hill, un « profiler » engagé par la police pour identifier le psychopathe.

Caryl Férey n’est pas un auteur de polar français comme les autres. Né à Caen, élevé en Bretagne, il écrit une saga de 4000 pages à 17 ans alors qu’il est encore lycéen à Rennes. À 20 ans, il fait le tour du monde et attrape le virus du voyage. Depuis, l’écrivain nomade aime ancrer ses histoires dans un pays étranger. Si le très remarqué et remarquable Haka se passe en Nouvelle-Zélande, Zulu, publié par la prestigieuse Série Noire de Gallimard, prend la direction de l’Afrique du Sud. Comme pour ses livres précédents, Férey a passé des mois à enquêter sur place pour revenir à Paris et délivrer un portrait au plus près de la réalité, quasi documentaire. Bardé de récompenses, traduit en 10 langues, le livre a d‘ailleurs été adapté au cinéma avec Forest Whitaker et Orlando Bloom dans les rôles-titres.

La fille d’une ancienne gloire du rugby est retrouvée morte et une nouvelle drogue semble être responsable de ce meurtre brutal, bientôt suivi par d’autres. Pour traquer le tueur, Ali Neuman, chef de la police criminelle et Zoulou hanté par la violence dont il a été témoin enfant et son partenaire un Afrikaner alcoolique naviguent entre les quartiers cossus et les rues sordides de Cape Town. Et s’enfoncent un peu plus dans les traumatismes d’une nation gangrénée par des relents post apartheid, la violence, la misère des townships, l’impunité des puissants et le sida.  Le livre explore aussi le passé et les atrocités commises dans les bantoustans contre les populations noires. Attention, certaines scènes racontées dans le livre sont à la limite du supportable

Chaque polar écrit par Cary Férey tient presque au reportage, à l’analyse sociologique de sociétés en proie à la violence raciale et aux inégalités. Cette fois encore, Zulu n’échappe pas à sa plume aiguisée et sans pitié. Une grosse claque.

Dans notre recherche, nous avons également sélectionné Chanson douce de Leïla Slimani qui s’inspire d’un terrible fait divers américain. Myriam décide de reprendre le travail et engage Louise pour s’occuper de sa fille et son fils. Dévouée, la nounou devient indispensable, mais doucement, son comportement devient inquiétant.

Publié en 1977, Fatale de Jean-Pierre Manchette, le parrain du polar suit Aimée, une tueuse professionnelle violente et séduisante qui se prend à vouloir détruire la bourgeoise de Bléville où l’argent règne en maître absolu. Une satire méchante et réjouissante qui n’a pas pris une ride.

Celle qui n’était plus de Narcejac-Boileau raconte comment un représentant de commerce se débarrasse de son épouse, aidé par sa maîtresse. Certes, l’histoire est vieille comme le monde, mais le revirement machiavélique imaginé par le duo français en 1952 en fait l’un des meilleurs polars français, adapté au cinéma sous le titre Les Diaboliques avec Simone Signoret.

Les rivières pourpres de Jean-Christophe Grangé mettent en scène deux flics qui poursuivent deux enquêtes différentes à des centaines de kilomètres l’un de l’autre. Ils se retrouvent pour découvrir un terrible secret. Si le livre n’échappe pas à quelques clichés, le polar a joué un rôle majeur dans la démocratisation du genre en France.

Pour son premier polar, l’Australienne Jane Harper frappe fort. Couronné par plusieurs récompenses (dont le Prix des lecteurs Polar 2018), le succès international de son livre a d’ailleurs propulsé d’autres talents comme Candice Fox sur la scène littéraire mondiale. Canicule évolue dans une atmosphère très particulière puisque l’intrigue se situe dans la brousse australienne, au sein d’une communauté de fermiers qui n’a pas vu la pluie depuis 324 jours. La sécheresse, la chaleur, les cours d’eau disparus, le bétail amaigri, les champs verts éteints constituent en filigrane l’un des personnages du livre. Jane Harper ne tombe pas dans la facilité et ne gratifie pas le lecteur de grands discours sur la sauvegarde de la planète. Elle préfère évoquer subtilement les conséquences pernicieuses du changement climatique qui pèsent silencieusement sur les personnages, l’intrigue et l’ambiance pesante de ce western lointain.

Aaron Falk, un agent fédéral de la police australienne revient à Kiewarra, sa ville natale pour assister à l’enterrement de son ami d’enfance. Des funérailles entachées de honte puisque Luke a tué femme et enfant avant de retourner l’arme sur lui-même. Mais les choses sont plus compliquées qu’elles n’y paraissent et Aaron – persona non grata pour des raisons qu’on découvre au fil des pages – se retrouve à mener l’enquête aux côtés d’un flic local inexpérimenté. Les flashbacks qui émaillent l’histoire d’Aaron et de ses amis d’enfance font émerger une autre mort suspecte et rappellent un passé où les rivières scintillent et les herbes foisonnent.

L’intrigue avance au rythme d’Aaron, écrasé par la chaleur et par le poids du passé. Certains trouveront peut-être la cadence trop lente, mais elle paraît justement à propos. L’écriture cinématographique de Jane Harper a d’ailleurs valu à Canicule une adaptation sur grand écran très réussie.

Dans notre recherche, nous avons également choisi Impact d’Olivier Norek qui choisit une approche plus radicale de l’éco-thriller. Dans cette intrigue ultra documentée, l’ancien flic met en scène un groupe d’éco- terroristes décidés à utiliser les moyens les plus extrêmes pour anéantir un système qui pille la planète.

Le roi du thriller juridique John Grisham n’hésite pas non plus à tacler les problèmes écologiques. Avec L’affaire Pélican, il a créé le thriller légal environnemental qui s’appuie sur des faits avérés pour imaginer une fiction. Ici, deux juges de la Cour Suprême sont assassinés. Leur point commun ? Leur opinion sur l’environnement. Une jeune étudiante en droit et un journaliste se retrouvent au cœur d’une conspiration où le pétrole est plus important qu’un marais abritant des pélicans en danger. Palpitant.

Dans Phénomènes naturels, Jonathan Franzen suit un jeune homme et une sismologue qui tentent de comprendre les raisons derrière de mystérieux tremblements de terre à Boston. Un éco-thriller qui met en avant le cynisme sans limite des hommes pour des gains financiers.

Avec Dans l’état sauvage, Diane Cook raconte un futur prochain dans une Amérique surpeuplée et surconsommatrice de ressources. La fille de Bea souffre de problèmes pulmonaires et sa seule chance de survie est de quitter la ville polluée pour atteindre l’état sauvage, un espace vierge où la présence de l’Homme a toujours été interdite.

Inspirée de Jane Eyre, le chef-d’œuvre de Charlotte Brontë, le thriller de Daphné du Maurier est un classique du genre depuis sa sortie en 1938. Rarement dans l’histoire de la littérature, un prénom n’a jamais autant évoqué la noirceur et la manipulation. Pas étonnant qu’il ait été adapté au cinéma par le maître du suspens, Alfred Hitchcock.

Pourtant, le début du livre ressemblerait presque à un roman Harlequin. Une jeune dame de compagnie timide et désargentée rencontre Max de Winter, un riche veuf. Séduisant et taiseux, il l’épouse au bout de quelques semaines. Émerveillée, la jeune mariée découvre Manderley, un magnifique manoir en Cornouailles, mais très vite, le rêve devient étouffant. Chaque pièce de la demeure est hantée par Rebecca, l’épouse décédée, présence invisible, mais omniprésente à chaque page du livre. Tourmentée par la présence de Rebecca, si belle, si parfaite, si élégante, l’héroïne – qui restera anonyme jusqu’à la dernière page – perd pied et accumule les maladresses, manipulée par Mme Danvers, la gouvernante spectrale et inquiétante, obsédée par Rebecca. Certains estimeront peut-être que la jeune épouse, écrite avant la guerre, semble bien trop soumise à son mari. Pourtant c’est son manque d’assurance qui rend le contraste avec l’épouse morte aussi passionnant.  Un rapport de force qui bascule le jour où le corps de Rebecca est retrouvé par des plongeurs…

Le talent de Daphné du Maurier est d’emmener le lecteur dans des directions inattendues. De l’histoire à l’eau de rose à l’hypocrisie de la haute bourgeoisie anglaise en passant par la manipulation psychologique et la mise en péril d’un bonheur fragile, Rebecca est tout simplement un chef-d’œuvre de la littérature anglaise.

Dans notre recherche, nous avons également sélectionné American Psycho de Bret Easton Ellis publié en 1991. Riche banquier à Wall Street le jour et psychopathe la nuit, Patrick Bateman est un tueur narcissique, obsédé par la calligraphie de sa carte de visite et la discographie de Whitney Houston. Une satire choquante, violente et fascinante sur la sauvagerie de l’American dream.

Ambiance très bourgeoise dans Une saison au purgatoire de Dominick Dunne, fine critique du pouvoir toxique de familles riches qui leur permet de dissimuler leur crime. Le livre, largement inspiré de plusieurs faits divers liés au clan Kennedy, suit les traces d’Harrison Burns, qui accuse le fils de la très puissante famille Bradley d’un meurtre commis 20 ans plus tôt.

Avec Le talentueux Mr Ripley, P.D James alias la boss du thriller psychologique imagine le personnage séduisant et impitoyable de Tom Ripley un caméléon plein d’intelligence, absolument prêt à tout pour arriver à ses fins et vivre le destin qu’il mérite : une vie de glamour et de privilège.

Dans la famille Holmes, je demande Enola, la petite sœur de Sherlock, le détective le plus intelligent et le plus connu du monde. Élevée à la campagne par sa mère, la jeune Enola est une demoiselle très intelligente (évidemment) et pleine de ressources. Lorsque la matriarche du clan Holmes disparaît à la veille de son quatorzième anniversaire, Enola n’a qu’une idée en tête : résoudre le mystère de sa disparition. Une idée saugrenue qui déplait à ses frères, Sherlock et Mycroft, décidés à l’envoyer en pension pour être éduquée comme une vraie lady. Courageuse et rebelle, la jeune détective en herbe s’enfuit à Londres pour traquer les indices laissées par sa mère.

Depuis la diffusion sur Netflix des aventures d’Enola Holmes, les jeunes ados se sont pris de passion pour la personnalité de cette jeune fille de bonne famille qui décide de sortir du carcan imposé par la société victorienne de l’époque. Pour elle, pas question d’être assise sagement à attendre un mari dans l’ombre de ses frères. Elle mènera une vie pleine d’aventures, sans contrainte et utilisera son intelligence supérieure pour percer des mystères et affronter des criminels. Des bas-fonds de Londres aux manoirs anglais, l’enquête d’Enola, semée de réjouissantes énigmes à percer, se dévore très vite. Mais c’est évidemment le modèle de cette ado rebelle et souvent plus brillante que ses aînés qui ravira les jeunes lecteurs. Et si votre enfant fait la grimace à l’idée d’ouvrir un livre de 263 pages, les aventures de l’ado perspicace existent aussi dans une version BD très réussie.

Dans notre recherche, nous avons également sélectionné pour les plus jeunes, Le club des 5 et le trésor de l’île, d’Enid Blyton qui a bercé l’enfance de nombreux parents. Accompagnés de leur chien Dagobert, Claude, Mike, François et Annie trouvent une carte et partent à la recherche d’un trésor caché sur l’île de Kernach.

Les exploits de Fantômette de Georges Chaulet racontent les aventures d’une jeune justicière, bigrement maligne qui traque les criminels la nuit. Fascinées, quatre écolières décident de découvrir qui se cache sous le masque de cette mystérieuse redresseuse de tort.

Dans le mythique Le chien des Baskerville d’Arthur Conan Doyle, Sherlock Holmes et son fameux acolyte le Dr Watson se retrouvent au manoir de Darmoor pour enquêter sur les étranges circonstances de la mort de Sir Charles Baskerville. A-t-il vraiment été tué par un chien démoniaque qui crache du feu ?

Qui de mieux qu’Agatha Christie, auteur le plus traduit au monde pour faire découvrir le roman policier à un ado notamment avec le cultissime Ils étaient dix. Sur une île, dix personnes invitées dans la demeure du couple Owen meurent les unes après les autres au rythme d’une étrange comptine. Un huis clos inquiétant et diaboliquement tordu par la reine du genre.

Arsène Lupin, gentleman cambrioleur de Maurice Leblanc a trouvé un nouveau souffle grâce à sa réincarnation à l’écran par Omar Sy. L’occasion pour ses nouveaux fans de redécouvrir la genèse originale du héros dans le Paris du début du XXe siècle. Ils vont adorer ce recueil des aventures du caméléon adepte de déguisements, un voleur facétieux qui traite toujours ses victimes avec élégance et respect.