Les meilleures lunettes de soleil homme

Si la marque californienne Vans est mondialement réputée pour ses vêtements et ses chaussures de skateboard, elle propose également une gamme complète d’accessoires, dont des lunettes de soleil. Parmi elles, les Spicoli, qui offrent un design classique, mais efficace et un excellent rapport qualité/prix.

Dotée de verres teintés noirs légèrement arrondis sur les bords, la monture, noire elle aussi, convient a priori à toutes les formes de visage. Estampé sur chaque branche, le logo Vans reste néanmoins discret.

Par ailleurs, les verres en polycarbonate offrent une protection UV400/CE, ce qui signifie qu’ils filtrent 100 % des rayons ultraviolets UVA et UVB. Les rayons UVA, qui représentent environ 95 % des rayons UV qui atteignent la surface de notre planète, peuvent endommager notre rétine. Plus dangereux que les UVA, les UVB peuvent générer une inflammation de la cornée et augmenter le risque de cataracte. Bien que très nocifs, les UV-C sont complètement filtrés par la couche d’ozone et n’atteignent donc pas théoriquement la surface de la Terre.

Également composé de polycarbonate, le cadre solide résiste parfaitement aux micro-chocs quotidiens. Pour cette raison, le modèle s’avère adapté aux activités sportives. Il s’agit en effet d’une des rares paires de lunettes de soleil à moins de 20 euros qui pourra vous accompagner pendant plusieurs années sans souci.

Toutefois, les Spicoli taillent grand et ne conviennent pas aux petits visages. Elles peuvent aussi paraître un peu plus lourdes, un point négatif contrebalancé par leur robustesse.

Dans notre recherche, nous avons également analysé les Duduma polarisées, les GQueen Steampunk et les Zillerate qui proposent un très bon rapport qualité/prix.

Est-il encore nécessaire de présenter la marque Ray-Ban ? Incontournable et intemporelle, l’enseigne règne en maître sur le marché mondial des lunettes de soleil depuis la fin des années 40. Lancées en 1952 et popularisées par de nombreuses stars de la musique ou du cinéma, comme Jack Nicholson, les Blues Brothers ou Ray Charles, les Original Wayfarer sont le modèle de la marque le plus vendu à ce jour.

Avec les New Wayfarer, Ray-Ban revisite ici les emblématiques Wayfarer classiques en proposant une monture plus petite et des lignes légèrement plus douces autour des yeux. Que vous soyez adepte de looks élégants, classiques ou sobres, ces solaires sauront vous séduire par leur design intemporel, leur netteté et leur confort exceptionnels.

Ni trop ronde, ni trop carrée, la monture noire classique s’avère adaptée à toutes les formes de visages et passe-partout. Vous pouvez opter pour différents traitements de verres (minéraux verts, dégradés bicolores, polarisants G-15 et verres miroir) et choisir parmi une vaste palette de coloris.

Mais ces lunettes possèdent plus que des arguments esthétiques. Conçues dans un plastique haut de gamme, spécialement choisi pour sa robustesse, elles ne craignent ni les chocs, ni les coups, ni les chutes. Ce matériau se montre aussi très léger (les solaires pèsent 40 grammes).

Par ailleurs, la paire est dotée de verres polarisés qui bloquent plus de 99 % de la lumière réfléchie. Grâce au traitement anti-reflets qui lutte contre la lumière bleue, vous pouvez profiter d’une clarté et d’un contraste accrus tout en réduisant votre fatigue oculaire. Cette fine épaisseur offre aussi une meilleure protection contre les rayures et les salissures.

En revanche, le modèle taille un peu petit.

Dans notre recherche, nous avons également analysé les Tommy Hilfiger, polyvalentes, accessibles et résistantes, les Carrera Grand Prix 2, modèle à la fois chic et sportif qui bloque 100 % des UV et les Oakley Holbrook, dotées de verres photochromiques polarisés qui offrent une vision claire et fidèle.

Créer des solaires à base de déchets de coquillages, tel est le pari fou et réussi de Friendly Frenchy. C’est en visitant un parc ostréicole en 2017 que Sandrine Guyot et Laurent Pezé ont l’idée de récupérer des déchets de coquilles d’huîtres, de moules et de Saint-Jacques pour confectionner des solaires.

La formule de la conception des montures résulte de deux ans de recherches menées par un laboratoire en Normandie : un mélange d’huile végétale (de ricin) et de coquilles broyées préalablement lavées, triées et séchées. L’objectif : transformer des déchets encombrants et polluants en une matière première performante et inédite.

Ainsi, le modèle La Dérive Brossée est fabriqué à partir d’un mélange de coquilles d’huîtres du Morbihan. Les lunettes sont ensuite moulées à la main à Arbent (Ain) et les verres organiques de catégorie 3, légers et recyclables, sont produits par l’entreprise Dalloz Créations, basée à Saint-Claude dans le Jura.

Cette fabrication singulière confère aux solaires un design élégant et une excellente résistance. En effet, chaque coquillage donne une teinte différente. Selon les couleurs et le rendu final souhaité, une monture peut demander jusqu’à 30 heures de travail ! En outre, le traitement antireflet vous apporte un confort optimal. Vous avez également la possibilité d’y faire ajouter des verres correcteurs chez un opticien dépositaire.

Néanmoins, le modèle s’avère un peu lourd et son prix ne conviendra pas à toutes les bourses.

Dans notre recherche, nous avons également analysé les Atelier Particulier Normanville, confectionnées à Évreux (Normandie) en 80 étapes dont les 3/4 manuelles,  les Binocle Square Écailles Blond Brillant, assemblées à la main à Nantes, les Wood Light, fabriquées artisanalement en Auvergne avec une monture en noyer personnalisable, les In’Bô Lunettes en Bois Anould, fabriquées dans les Vosges à la demande et dans le bois de votre choix et les Vuarnet Ice Noir Mat Brow, conçues à Meaux (Seine-et-Marne).

Première marque à fabriquer des solaires à partir de plastiques recyclés, SEA2SEE a été créée par François van den Abeele en 2016. Grand amoureux de la mer, cet entrepreneur belge installé à Barcelone se désole de voir la Méditerranée chaque jour plus polluée. En se renseignant sur le sujet, il découvre que chaque seconde, 256 kg de plastique finissent dans nos océans. Cette matière non biodégradable peut rester dans l’eau jusqu’à 600 ans, quand elle n’est pas ingérée par des poissons ou autres cétacés.

Face à ces chiffres alarmants, François van den Abeele décide de lancer une marque de lunettes entièrement conçues à partir de déchets plastiques marins recyclés et collectés par les pêcheurs eux-mêmes (plus de 40 % des déchets marins sont constitués de filets de pêche.)

Le fondateur de Sea2See installe alors des containers dans 27 ports d’Espagne, puis dans une dizaine de zones côtières au Ghana et dans 6 ports français. Plus d’une tonne de déchets (filets de pêche, cordes, lignes ou bouteilles) y est récupérée chaque jour. Seuls 25 % d’entre eux, utilisables pour fabriquer des montures de lunettes, sont recyclés en billes plastiques et envoyées dans le Nord-Est de l’Italie où les lunettes sont fabriquées. Le cadre des montures est coloré à la main par Roberto, le chef de coloration, ce qui rend chaque modèle unique !

C’est le cas des SEA2SEE Fly, qui sont confectionnées à la main en Italie à partir de déchets plastiques marins. Outre leur conception éco-responsable, elles s’avèrent très confortables, légères (20 grammes) et ultra-résistantes. Grâce aux verres de catégorie 3 en polycarbonate, vous serez protégé à 100 % des rayons UV.

En revanche, le modèle taille un peu grand.

Dans notre recherche, nous avons également analysé les Moken Woody, fabriquées à la main en bois, liège et bioplastiques à Hossegor (Landes), les Mou Company Andaman Smat, conçues en bois au Pays basque, les Lunel Vintage Duhalde, restaurées en France à base d’anciennes montures de lunettes de soleil et les GreenTreen Amexi, monture en bois à tout petit prix.

Rendues mythiques par Steve McQueen, ces lunettes de soleil pliables haut de gamme appartiennent désormais à la légende. En 1968, la star hollywoodienne impose les solaires sur le tournage du film L’affaire Thomas Crown. À la ville comme à l’écran, il ne quitte plus ses lunettes à la flèche, emblème de l’enseigne. Sa passion pour la marque aboutit à la création d’un modèle unique : les Persol Steve McQueen pliables.

Plus d’un demi-siècle plus tard, le modèle n’a pas perdu de sa superbe. De la monture au verre, en passant par les branches, tous les composants affichent une esthétique et une qualité de finition optimales.

Faites main, les solaires se déclinent en 4 coloris : noir avec des verres polarisés gris, Miele et Caffé avec des verres bleu dégradé polarisants, et Havana avec des verres plaqué platine. Elles sont fabriquées en acétate, lui-même composé d’un mélange de coton et de pigments pulvérulents (poudreux) qui crée des variations uniques pour chaque monture. Pour leur part, les verres en cristal garantissent une protection optimale et une vision nette.

Par ailleurs, pliable en son centre, la paire se range très facilement dans de petits étuis. En outre, le dispositif Meflecto, breveté par la marque dans les années 30, offre un confort idéal en supprimant la pression exercée sur la tête par les lunettes. Ce système permet également de s’adapter à toutes les morphologies.

En revanche, le prix des Persol Steve McQueen s’avère élevé.

Devenues un accessoire de mode incontournable, les lunettes de soleil inspirent aussi de nombreuses enseignes de luxe. Ainsi, la marque française Cartier a créé un modèle en métal doré lisse et brossé et Armani vend des solaires rondes teintées. Vous pourrez également vous laisser tenter par une paire en acétate de chez Jacquemus ou par des solaires cloutées Yves Saint-Laurent.

Dans notre recherche, nous avons également analysé les Tom Ford Henry FT0248, modèle intemporel carré, ultra résistant et protecteur, les Oakley Latch, équipées de verres en Plutonite (matériau très robuste) et fabriquées en O Matter – alliage de plastiques flexible et très résistant aux chocs – et les Gucci GG0291S-001, monture élégante et protectrice en acétate.

Particulièrement sensibles aux rayons du soleil, les yeux des enfants, et surtout des bébés de moins de 1 an, doivent être protégés correctement. Ainsi, de 3 à 36 mois, il est indispensable de choisir des solaires de catégorie 4 ou de catégorie 3 dotées d’un traitement anti-lumière bleue. Vous devez également opter pour des modèles certifiés UV400, qui garantissent une filtration de 100 % des rayons ultra-violets.

En termes de monture, les cordons et les branches souples s’avèrent les mieux adaptés aux plus petits. Certains modèles ergonomiques sont même livrés avec une sangle en tissu et un jeu de branches adaptables.

C’est le cas des Ki ET LA Diabola, qui suivent l’évolution du visage de votre enfant et s’adaptent à sa morphologie. En effet, ces lunettes au prix attractif disposent d’une première position adaptée aux bébés de 0 à 9 mois et d’une seconde pour les enfants de 9 à 18 mois. Vous profitez donc d’une paire deux en un !

Composées d’élastomère (plastique caoutchouteux) anallergique, les solaires s’avèrent ultra légères (8 grammes) et offrent un confort maximisé. Par ailleurs, la monture est réalisée en mono-injection, c’est-à-dire avec une seule matière, ce qui la rend incassable et recyclable. Disponible en 10 coloris, elle dispose également d’un cordon souple, doux et élastique qui assure un excellent maintien.

En termes de protection, les yeux de votre bout de chou seront correctement protégés des rayons ultraviolets grâce aux verres en polycarbonate de catégorie 4 et au filtre anti-lumière bleue. Attention toutefois à ne pas mettre les lunettes à l’intérieur d’une maison ou d’une voiture. En effet, avec des verres haute protection qui ne laissent passer que 9 % de la lumière, votre bambin sera plongé dans l’obscurité.

En revanche, les branches s’avèrent un peu serrées et les finitions sont grossières.

Dans notre recherche, nous avons également analysé les Kiddus, dédiées aux bébés de 6 mois à 2 ans et équipées de verres incassables qui bloquent les UV à 100 %, les Polaroid pour enfants, protectrices et confortables et les Uvex Sportstyle, idéales pour les petits athlètes.